Maladie, accident … un décès peut intervenir à n’importe quel âge. Ceci peut être lourd de conséquences pour les personnes n’ayant pas eu le temps de se constituer un patrimoine suffisamment important pour protéger leurs proches. Le conjoint de la personne décédée aura peut-être encore des enfants scolarisés, un prêt immobilier à rembourser…
Une assurance temporaire décès est, dans ce cas, essentielle. Le mécanisme est simple : le souscripteur évalue les besoins financiers qu’aura son conjoint au cas où il viendrait à décéder. Il choisit ensuite le capital qu’il souhaite qu’il perçoive à son décès. Il peut également prévoir le versement complémentaire d’une rente mensuelle. Sur cette base, son assureur calculera le montant de sa cotisation, généralement quelques dizaines d’euros par mois ! Le bénéficiaire est alors protégé dès le 1er jour d’entrée en vigueur du contrat et ce tant que le contrat est renouvelé (renouvellement annuel). Si son conjoint vient à décéder, il percevra le capital fixé (et une rente, le cas échéant) avec des montants relativement élevés eu égard aux cotisations versées. Cette assurance décès dite « temporaire » permet de couvrir, pendant une durée précise, un risque précoce que le couple ne pourrait assumer seul faute d’avoir pu suffisamment épargner.
Exemple : Madame Bertrand, 38 ans, travaille à mi-temps afin de consacrer du temps à l’éducation de ses 3enfants. Son mari, 40 ans, est conscient que s’il lui arrivait quelque chose, son épouse pourrait avoir des difficultés financières car le remboursement de l’emprunt de leur maison ne s’achève que dans 15 ans et leurs enfants sont encore jeunes. Il décide de souscrire une assurance décès à son profit. Pour moins de 30 euros par mois, avec le contrat Preciso distribué par SMAvie, il est assuré qu’au cas où il viendrait à décéder suite à une maladie ou un accident, son épouse recevra immédiatement un capital de 30 000 euros. Elle percevra également pendant 5 ans une rente de 2 000 € par mois. Elle aura ainsi de quoi voir venir !
Autre situation : un couple a épargné pendant plusieurs années, et se trouve aujourd’hui à la tête d’un « joli » patrimoine. Il décide de continuer à le faire fructifier en l’investissant en grande majorité dans l’immobilier. Ce type d’investissement présente un inconvénient majeur : il n’est pas « liquide ». Autrement dit, si le couple a un besoin ponctuel d’argent, il devra le vendre ! Cette situation peut s’avérer compliquée en cas de décès d’un des époux. Le partage de la succession du défunt rendra nécessaire la vente du bien immobilier ce qui peut prendre un certain temps. Et cela est sans compter les dissensions familiales qui peuvent bloquer ou retarder la vente. En attendant, le conjoint survivant ne pourra pas compter sur cette entrée d’argent pour compléter ses revenus et faire face à ses dépenses et charges. Une assurance décès vie entière est dans ce cas une solution à privilégier. L’assuré choisit le capital qu’il souhaite voir verser à son décès à son conjoint. Le montant de ses cotisations est calculé en conséquence et le versement du capital est garanti dès l’entrée en vigueur du contrat.
Principale différence avec une assurance décès temporaire : ce type de contrat offre une garantie viagère. Le conjoint est assuré de percevoir le capital décès quelle que soit la date du décès de l’assuré. De plus, le contrat comporte une « faculté de rachat ». S’il le souhaite l’assuré peut à tout moment récupérer une partie de l’argent figurant sur son contrat. Cette assurance décès « vie entière » permet à une personne de protéger son conjoint, ou la personne de son choix, quelle que soit la date de son décès et de lui assurer le versement d’un capital pour faire face à ses besoins immédiats dès la souscription du contrat.
Exemple : Mme Bertrand est veuve et a un fils. Elle a un revenu mensuel de 3 500 € (pension de retraite + revenus locatifs). Elle possède le patrimoine suivant :
- une résidence principale estimée à 450 000 €
- un bien locatif d’une valeur de 150 000 €
- une assurance vie de 150 000 € dont sa nièce est la bénéficiaire
- 40 000 € de liquidités.
À son décès, sa nièce percevra le capital figurant sur son assurance vie. Son fi ls étant son seul héritier, il percevra le reste du patrimoine de sa mère d’une valeur de 640 000 €. Les droits de succession sont estimés à 106 194 €. Pour les payer, son fils risque de devoir vendre un bien immobilier faute de liquidité suffi ante. Si Mme Bertrand avait anticipé le montant des droits de succession à payer, elle aurait pu souscrire une assurance décès « vie entière » garantissant à son fils le versement à son décès d’un capital couvrant tout ou partie de ses droits de succession. Il aurait ainsi pu conserver les biens immobiliers de sa mère.
Important : le capital versé dans le cadre de ces assurances décès est exonéré de droits de succession (selon la législation en vigueur).
Pour aller plus loin …
Découvrez Preciso, l’assurance temporaire décès proposée par SMAvie
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